Aurem est de retour!

Aurem entra dans l'auberge avec un petit sourire en coin, puis il se dirrigea vers le contoir.

"Ulfgar, donne moi une biere"

Il versa 10 ornam sur le contoir, puis il alla s'assoir dans un coin de l'auberge

"Bien qui nous avons ce cher Aurem."

Il lui donna sa bière et prit l'argent

"Qu'est-ce qui nous vaut le déshonneur de te voir Aurem?"

Lui dit il en riant

Rie à son tour

"Vous savez, je ne croit pas vraiment que se soit un déshonneur...Mais bon, je suis venue ici pour etre mit au courant des dernières rumeurs qui circule"

Cette derniere déclaration la fit rire

"Tien Aurem aide maintenant quelle surprise"

Il parti à rire

"Vous savez déesse j'ai toujours aider ceux que je considère digne de ma confiance ou qui selon moi le mérite"

"Et les dieux eux même n'ont pas droit à se respect? Pauvre petit Aurem, tu t'es jouer de moi la dernière fois, cette fois, je t'ai devant moi et tu va recevoir une punition digne de se nom"

**Aurem se vit entourer d'une bulle**

Il ne bougea pas d'un centimètre

"Croyez moi Déesse j'ai pesé mes mots la dernière fois et tout se que j'ai dit était vrai mais comme on dit la vérité fâche donc donner moi la punition que vous jugeré juste, et se meme devant tout ses témoins"

"Avec plaisir cher Aurem que tout ses témoins soit la pour voir se qu'il arrive quand l'arrogance prend le déçu sur le respect envers un dieu! Je vais commencer ici mais crois moi que ta souffrance ne s'arrêtera pas la, pour tout tes mots d'arrogance une nouvelle souffrance te sera infliger! Même si cela doit durer des jours sache que moi je n'ai pas besoin de sommeil. Tel est la volonté de Orna le Dieu suprême! Je puni les inpudents!"

**Des éclaires commencèrent à se former à l'interieur de la bulle pour venir lui donner un shoc une à une**

La Déesse était silencieuse devant la torture qui commencais

*Je suis peut-être la déesse de l'amour mais pas celle-ci peux s'exprimé de trop de façon pour qu'on puisse la juger...*

Aurem s'accroupi de douleur mais il ne dit pas un mot mais il regardait la Déesse dans les yeux.

Ulfgar vit ce que Itila a fait Aurem il explosa de colère

"QU'EST-CE QUE TU PENSE CE QUE TU FAIS JE ME FOUS QUE TU SOIS UNE DÉESSE TU ES SOUS MON TOI TU VAS TE PLIER AU RÉGLE COMME TOUT LE MONDE."

Ulfgar essaya d'apporter Aurem dans ses quartiers

**Ulfgar se frappe à la bulle**

Et la déesse en colère de cette intervention se retourne vers Ulfgar

"Assez d'insolence Ulfgar ou tu va finir comme lui il paye pour son insolence et tu devrais réaprendre également le respect envers les dieux! Je montre au monde se qui arrive quand on se moque des dieux! Mais soite si tu ne veux pas que je punisse cet insolent ici je le ferais sur la place public pour que tous sache et si tu souhaites que tous puissent utiliser leur magie sur toi, un seul mot et j'enlève la protection que tu es venu toi même me demander."

Sur se elle disparut avec Aurem

Amorphis ce tenait à l'écart. En entendant les mots d'Itila, qu'elle était une déesse, le respect, les menaces, la colère monta en lui.

*Les dieux sont sensé protéger, prêter serment de neutralité, de compassion mais au lieu de sa, chaque fois qu'un de ceux-ci est offencé, il préfère les foudroyé, déchainer leur pouvoir sur de pauvres hommes. Ensuite il tente de nous enseigner la droiture et le pardon....Haaa assez entendu pour aujourd'hui.*

Il s'adressa a Ulfgar de ton calme et paisible mais on pouvait voir une flamme dans ses yeux.

- Elle a raison sur un point, la déesse. Le respect se gagne, se mérite. Sa méthode est celle des dieux déchu, elle impose son respect. Je ne cherche pas la confrontation. Mais qu'elle lui enseigne le respect. La violence engendrera toujours la violence. Sa hantise envers certain, dieu ou non, ne serra que plus grande.

*Pourquoi toujours régler tout pas la violence. Dire que ce sont les dieux qui nous corrige quand eux même se laisse aller dans le vice de l'homme.*

Il se ferma les yeux, inclina la tête, la secoua légèrement et tourna les talons. Avant de sortir il jeta un dernier regard.

*Ce qui m'attriste le plus, c'est qu'elle vient de montrer devant tout ce public que les dieux peuvent être pire que nous.*

Sur ce il quitta.