Dans le bois

Orelindë fit un longue promenade dans les bois. Cela apaisait toutses maux. Elle vit qu'elle était presque revenue a l'auberge elle décida de s'asseoir au pied d'un arbre en regardant la lune bleue éclairer le boisée.

Un grand homme, de bonne stature, apparut près de Orelinde. Il s'approcha doucement. Il la regarda droit dans les yeux et inclina la tête.

"Bonjour madame. Je vous es suivi depuis le chateau. Je me demandais si vous pouriez me rendre un service. J'ai cru remarquer que vous y aviez accès. Je dois parler a une certaine" il sorti un papier et fronca les sourcils "une certaine Orelinde, ou quelque chose comme sa. Est ce que vous pourriez lui faire le message, le plus rapidement possible? Je suis Albert par la même occasion."

Il lui tenda cette énorme chose qui était sa main et lui fit un grand sourrire.

Orelindë fronça ses sourcils platine et remarqua la haute stature de l'homme. Elle se leva et setint la tête droite affrontant l'homme du regard.

- Je suis Orelindë. Que me voulez-vous Albert?

Orelindë se tenait droite la main sur son Katana prête a se défendre.

Albert resta surpris de cette réponse.

"Moi ma p'ptite 'dame je ne vous veux rien. Mon maître désire vous parler. Moi ce que je voulais, n'était qu'être gentil m'dame. Je viens seulement chercher ce qu'il demande. N'ayez pas peur. Mon maître ne veux que vous parlez rien de plus. Justement il parle déjà avec...."

Il se rendit compte qu'il en disait déjà trop. On pouvait voir que se grand gaillard avait rien de méchant. On pouvait sentir qu'il n'avait aucune malice et il parlait avec une légère déficience mais rien de trop apparent.

Orenlindë sentit que l'homme était apeuré un peu. Elle relâcha sa poignée de Katana et lui sourit gentiment. Elle le sentait un peu comme un enfant.

- Bien Albert. Amenez-moi a votre maître. Je serais honorée de le rencontrer. Mais dites-moi mon ami, a qui discutet-t-il?

Elle lui fit un sourire rassurant tout en lui touchant le bras doucement presque comme une feuille effleurant la peau.

Il regarda Orelinde gêner.

"Pas le droit de le dire m'dame. Mon maître ne veux pas que je parle de ses rencontres." Il baissa la voix et lui fit signe s'approcher "Il sait tout et si je vous le dit, il me punira." Il reprit un ton normal "Maintenant, suivez moi, je connais un raccourcie."

Tout au long du trajet il ne cessait de parler. Il lui racontait toute sorte d'annecdote. Un vrai moulin a parole. Orelinde n'a pu avoir la chance de placer un mot. Ils arrivèrenet à leur destination après plusieur minute.

(suite à la guilde)